Rowena adore les correspondances, écrire et dessiner sont ce qu'elle aime. Si vous avez un peu de temps, prenez votre plume et écriviez lui quelques mots. Ca lui fera sans doute plaisir ♥
code by ORICYA.
Une petite réponse ?:
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<link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Kaushan+Script' rel='stylesheet' type='text/css'> <link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Devonshire' rel='stylesheet' type='text/css'> <center><div style="background: url('http://i57.servimg.com/u/f57/18/41/76/42/paper_10.jpg'); width: 500px; box-shadow: #000000 0px 0px 10px; border-radius: 30px;"> <div style="text-align:left;font-size: 13px; color: #000; margin-left: 20px; "><br></div> <div style="text-align:right; font-size: 13px; color: #000; margin-right: 20px; margin-top:-30px;"><br></div> <div style="text-align: center; font: 30px 'Kaushan Script'; color: #332D26;">Dear [i]destinataire[/i],</div> <div style="width:410px; padding: 10px; font-size: 12px; font: 'Times new roman'; line-height: 1,10;text-align: justify; color:#000;"><div style="font-size:300%;float:left; font-family:'Kaushan Script'; color: #332D26; margin-right:8px;margin-left:2px">S</div>ed si ille hac tam eximia fortuna propter utilitatem rei publicae frui non properat, ut omnia illa conficiat, quid ego, senator, facere debeo, quem, etiamsi ille aliud vellet, rei publicae consulere oporteret? Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt. Siquis enim militarium vel honoratorum aut nobilis inter suos rumore tenus esset insimulatus fovisse partes hostiles, iniecto onere catenarum in modum beluae trahebatur et inimico urgente vel nullo, quasi sufficiente hoc solo, quod nominatus esset aut delatus aut postulatus, capite vel multatione bonorum aut insulari solitudine damnabatur.
Quelle étrange sensation que de se sentir coupé du temps. Ou plutôt revenue à lui. Il me semblait que c’était hier que je vous voyais pour la dernière fois, au pied des marches de la demeure Tully, juste avant mon départ. L’innocence de votre jeune âge marquait encore de sa pâleur votre visage en éclosion. Mais à en croire par votre plume, la fleur s’est pleinement épanoui. Quelle cruauté de la part des Sept de nous faire assister, dépossédé de tous nos moyens, aux affres du temps qui nous mûri tous. N’y voyait là aucune attaque personnelle, gente damoiselle, car je ne cherche pas à vous offensez. Peut-être comprendrez-vous ce que je veux dire lorsque vous serez plus âgée.
Je n’ai pas le souvenir d’avoir reçu de missive de votre part depuis plus d’une année aussi j'ai bien peur qu’un corbeau désorienté ou un mestre sénile n’ait égaré votre dernier message. Il me serre le cœur d’apprendre que je vous ai laissé dans l’expectative aussi longtemps, moi qui pensais que vous étiez trop affairée pour poursuivre notre correspondance.
Il est vrai que j’ai rejoint le service de mon frère et que j’ai eu l'occasion de pouvoir fouler à nouveau les terres qui m’ont vu naître. Mais si les souvenirs d’une enfance lointaine assaillent mon cœur par moments je dois vous avouer que celui-ci se languis de voyager. Pourtant une désagréable sensation, une amertume m’acculant du vide, me fait penser que cette époque de ma vie est révolue. Peut-être est-ce l’ombre de cette guerre dont vous parlez qui projette sur le futur un voile funeste qui m’empêche de présager quelques jours heureux à venir. Les Sept nous ont toutefois accordé un répit concernant le conflit contre Dorne. Aussi je remercie votre doux cœur de s’enquérir de ma vie mais vos prières, ma douce, ne sont pas nécessaire. Pour le moment du moins.
Je dois avouer ne pas avoir reçu de nouvelles de Vivesaigues, hélas. Les patrouilles frontalières ainsi que les quelques pérégrinations dans les terres de Westeros que je peux m’accorder , sans parler des assauts dornien, ne m’ont pas laissé le temps de m’informer sur l’état du monde. Excepté, bien sûr, les affaires royales qui sont toujours les nouvelles que l’on discute le plus. Je vous prie, damoiselle, de bien vouloir m’informer sur cette affaire que vous semblez juger triste.
Dans l’espoir que cette missive vous arrive rapidement. Que les Sept vous préservent, jeune enfant.
v Cette annonce me trouble grandement, gente damoiselle. Non seulement vos parents étaient de bonnes âmes mais la nouvelle de leur mort ne m’était aucunement parvenu. Je suis attristé d’apprendre leur décès et tout aussi touché en sachant votre position délicate. Croyez bien que s’il en retournait de moi, je ferais tout pour vous venir en aide mais le Bief étant sous l’autorité de mon frère et en paix fragile avec Dorne, je ne puis décemment agir comme bon me semble, hélas. Je possède quelques amitiés avec certains Lannister toutefois et s’il advenait que la présence de leur maisonnée dans votre demeure devienne néfaste, peut-être pourrais-je parlementer avec eux. Damesoielle, nous savons tous les deux, hélas, que la noblesse est privé d’amour par la nécessité aussi votre frère ou vous-même avez-vous des alliances potentielles avec d’autres maisons afin de fortifier la position de Vivesaigue ?
Je regrette de devoir vous écrire un note si modeste mais Hautjardin est agité par les préparatifs du voyage vers Port-Réal aussi, autant puis-je partager votre émoi, ou tenter de le partager du moins, je ne peux m’attarder. Peut-être nous reverrons-nous lors du tournoi, si toutefois vous ferais le déplacement.